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Batiffolies hautes en couleurs

27 février 2011

H is for Helena Bonham Carter

Like a Star - Corinne Bailey Rae

Il y a des jours où je me dis que, vraiment, je devrais faire des listes. Des listes de choses à faire, à penser, de messages à envoyer, de délais à respecter. Comme pour rendre un livre à la bibliothèque, envoyer un CV pour cet été, ou mettre mon blog à jour. Le problème avec les listes, c'est que j'ai toujours l'impression d'oublier d'y écrire quelque chose. Et vous remarquerez que c'est très souvent au moment où on est le moins apte à s'y consacrer que les choses oubliées nous reviennent en tête. A croire que l'humain est voué à ne pas se souvenir de tout.

Parfois, je me dis que, si j'étais une célébrité, il y aurai toujours des gens autour de moi pour me rappeller que faire. Même si on y perd un peu en autonomie, on peut être sûr que, les soirs où on aura des fêtes ou des obligations, quelqu'un aura fait notre emploi du temps et qu'il suffira de s'y tenir. J'aimerai bien être une célébrité. Dans le genre d'Helena Bonham Carter.

Je ne vais pas - ou très peu - m'étaler sur l'admiration que je porte à cette femme, tant pour son talent d'actrice, son attitude vis à vis de sa célébrité, sa manière de se conduire et de parler, et même son look improbable. Mais je crois simplement que, si je venais à être célèbre un jour, je chercherai à avoir son naturel. J'adore Helena Bonham Carter.normal_Helena_Bonham_Carter_002

 

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20 février 2011

G comme Goûtez au pain perdu!

On l'entend souvent, et c'est vrai dans ce cas : les choses les plus simples sont les meilleures.

Prenez du vieux pain (peu importe la sorte finalement), des ingrédients de base, et vous faîtes un moment de plaisir et de délice inimitable ou presque. Le plus dur dans cette recette, c'est finalement d'attendre! Mais plus on attend et meilleur c'est, à vous de choisir le plus insupportable...

Simplissime : des morceaux de pain rassis, à laisser tremper entre une heure et une nuit dans 40 cl de lait, 3 oeufs, 40 g de sucre et un peu de vanille (et facultativement un peu d'alcool), ce qui donne un lait de poule; une fois que c'est bien imprégné, on file cuire ça dans une poële graissée jusqu'à ce que ça soit doré, on saupoudre de sucre glace, de miel, sirop d'érable, confiture ou autre, et on déguste en fondant sur sa chaise.

Bien-sûr, la recette de base peu s'accomoder à tous les goûts : brioche perdue, gâteau de pain perdu avec fond de caramel, ...

Un délice!

13 février 2011

F comme Famille

Les Plages - Jean-Louis Aubert

Un rapide petit article avant de filer au lit, car oui, les "vacances" sont terminées et les cours reprennent...

Quand on nous demande simplement le célèbre "Comment ça va ? Le boulot, la santé, la famille ?", on fini par ne plus réaliser vraiment tout ce que ça représente. Ce soir, c'est sur le cas de la famille que je me penche.

Bien-sûr, il y a autant de types de familles qu'il y a d'individus, on a chacun notre bagage héréditaire, notre arbre généalogique plus ou moins épineux et vivace. Mais d'une manière générale, on s'accorde tous à dire que la famille, c'est (le plus) important. Certains renient ou en tous cas écartent leurs parents, une fois adultes. D'autres restent très fusionnels avec eux. La majorité arrive à trouver un juste milieu. Mon avis, c'est qu'une famille, c'est à la fois celle d'où l'on vient; celle qui doit être un foyer, un nid, un point de départ et parfois de retour, et je suis bien heureux de le vivre ainsi. Mais une famille, c'est également, si on le souhaite, celle que l'on fonde. Le conjoint, les enfants, la belle-famille, pour l'instant je ne connais pas, mais j'ai autour de moi des exemples quasi-idylliques qui donnent tout à fait envie d'en arriver à ce résultat. Cette sorte de tribu, nombreuse, parfois chaotique mais harmonieuse et soudée, dont j'aimerai faire partie à l'avenir.

Enfin, pour pas mal d'entre nous, une famille, c'est aussi ce qu'on ressent avec ses amis, les amis proches qui connaissent nos vies, nos combats, nos hauts et nos bas, et qui sont souvent l'équivalent de frères et soeurs; c'est parfois tout aussi important d'avoir cette "deuxième famille" pour ne pas tout reporter sur la première.

Dans nos vies, si on y prend un peu garde, on peut se rendre compte que, d'une manière ou d'une autre, tout ce qui se rapproche de près ou de loin à une famille, c'est ce qu'on aime retrouver le soir en rentrant ou quand on a envie de partager les mauvais, et les bons moments de notre existence. C'est vital.

6 février 2011

E comme Etre adulte

Never Leave your Heart Alone - Butterfly Boucher

Vous vous souvenez quand vous étiez petit et que vous rêviez à votre vie future, votre métier qui s'annonçait passionnant, votre famille, votre amoureux(se) ? Cette époque où nos seules préoccupations étaient notre appareil dentaire, nos mauvaises notes ou nos amitiés éphémères. Et bien être adulte, c'est pas vraiment mieux. On imagine qu'on peut s'acheter les vêtements qui nous plaisent, sortir quand on veut, être avec qui on a envie, se trouver considéré comme une personne à part entière. Mais on est aussi écrasés de responsabilités et d'échéances, comme trouver et payer un loyer, son orientation professionnelle et étudiante, ne plus dépendre des autres, ... En bref, être adulte, ça craint.

Autant que de voir déjà arriver la fin de son contrat CDD et de voir revenir la routine infernale de la fac. Autant que de piétinner, voir reculer, face à un tas d'idées et de projets pour l'été et les vacances, mais trop durs, irréalisables, chers ou autre pour les faire aboutir. Toute notre vie, nous sommes confrontés à des lignes. Il devrait y avoir un signal qui dit "Ne pas dépasser", lorsqu'on s'approche trop loin de cette ligne à ne pas franchir. Certaines sont malgré tout franchies, d'autres restent inaccessibles, ou encore intimidantes, dangereuses, mais la plupart du temps, on fait un pas de trop. Et ce n'est plus à nos parents, mais à nous d'en assumer les conséquences.

beatrix_potterToutefois, lorsqu'on a une maison, un foyer, un point d'origine où l'on peut retourner se poser, se reposer et récupérer, abrité du monde extérieur, on s'aperçoit que tout n'est pas si terrible. Comme de partir pour une longue soirée de boulot mais voir qu'en attendant, dehors, il fait un ciel bleu magnifique. Dans ces cas-là, croyez-moi, on sent que ça vaut le coup de continuer le trajet en bus et de se forcer à avancer.

Alors finalement, l'âge adulte, c'est pas si mal que ça. C'est vrai qu'on peut se faire plaisir avec de beaux vêtements, qu'on peut sortir où et avec qui on veut, qu'on existe par et pour soi. Et puis en fin de compte, on voit que tout va plutôt bien. Que certaines lignes sont franchies. Et on continue à avancer.

30 janvier 2011

D is for Dormir

De nos jours, beaucoup de gens se plaignent du manque de sommeil, moi le premier. Dû au stress, au surmenage, à une vie déséquilibrée, les raisons sont multiples. Mais la vérité, c'est que dormir est un véritable moment de bonheur.

Qui n'a jamais apprécié le plaisir de rentrer d'une longue soirée ou fête et de se blottir dans son lit avec la certitude de pouvoir s'endormir en deux minutes ? Ou bien d'avoir succombé avant, pendant le retour en voiture ? Et qui n'a jamais regretté de ne pas être encore dans son lit au lieu d'être déjà au travail à 5h du matin en baillant à tout va?

Lorsque l'on entend des expressions comme "se lever du pied gauche", "la nuit porte conseil" ou "dormir comme un ange", on comprend à quel point dormir est important pour un être humain. Même s'il y a les extrêmes : les insomniaques qui ont besoin de lire, regarder la télé, être sur l'ordinateur jusqu'à pas d'heure et ne se réveiller que quelques autres heures plus tard; et ceux qui trainent autant que la décence le permet dans leur couette chaude et douillette - et j'en suis.

Bien-sûr, dormir est l'occasion de beaucoup de choses. Le repos, la détente, la complicité, le sexe, les règlements de compte, les réconciliations et les rêves. Etre a deux dans un lit, tel qu'on pourrait l'imaginer, je ne connais pas. Et vu mes accrobaties et gesticulations nocturnes, c'est sûrement tant mieux, ayant entamé depuis une décennie la Troisième Guerre Mondiale avec mon oreiller. En revanche, dormir à cinq ou six sur un canapé deplié et rallongé d'un matelas de fortune, j'ai déjà fait. Ce n'étaient ni les pires, ni les meilleures nuits, pour ce que je m'en souviens.

Les nuits blanches ? Blasphème! Et pourtant, j'avoue en avoir déjà eu, mais très peu. Par contre, je suis adepte bien malgré moi des monologues inconscients, des songes farfelus, dramatiques ou improbables, souvent néfastes ou alors totalement absurdes, ainsi que des réactions violentes (vous savez, tout le monde a fait au moins une fois ce rêve où on tombe, on tombe, on tombe, et on se réveille en sursaut et en sueur...)

Il y a tellement de choses à raconter sur le sommeil et le plaisir qu'il apporte que ça prendrait toute une nuit pour les collecter et les écrire, et ma nuit étant de courte durée aujourd'hui, je laisse la parole à ceux qui auraient des anecdotes sur leurs nuits, à partager ici.

Bonne semaine et...bonne nuit!

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23 janvier 2011

C is for Chanter Christmas

Cet article m'est directement inspiré par la chanson de Paul McCartney - Wonderful Christmas Time

Oui, Noël est bien passé depuis un mois, ou alors a attendre encore presque un an. Toutefois, je me sens vraiment d'humeur à en discuter ce soir. Avec en premier lieu le chant.

C'est vrai que je n'attends pas Noël pour chanter, loin s'en faut. Les chorales, les comédies musicales, les cours, j'ai fait, et je continue toujours certains. En fait, je chante depuis très longtemps : petit, j'apprenais les paroles et différentes voix des CD que j'écoutais (on retiendra Roméo & Juliette, simple exemple parmi un beau best-of); au collège je participais à deux chorales; au lycée je continuais avec un autre répertoire, plus classique. Mais chanter ne se limite pas au cycle scolaire, surtout pas! Je chante en fait une bonne dizaine de fois par jour, généralement de manière imprévue, très spontanément, ce qui me passe par la tête. Evidemment, mon répertoire personnel ne plaît pas à tout le monde, mais qu'importe. Pour ceux qui m'entourent, c'est au début de l'étonnement, puis du sourire, et rapidement de l'exaspération. Quand je suis seul, on me prend probablement pour un cinglé. Mais le meilleur, c'est de chanter avec d'autres chanteurs. Il y a une satisfaction importante à commencer un refrain et être vite rejoint dessus par une autre voix, pour en principe aller jusqu'au bout ou presque. D'où le plaisir d'avoir des musiciens, artistes ou juste mélomanes dans mes ami(e)s.

Chanter est devenu absolument naturel, et parfois même nécessaire. Y a-t-il meilleure exutoire ? Pour les sportifs non-pratiquants et ceux qui ne veulent pas trop crier, chanter est une formidable façon de s'exprimer, d'extérioriser. Pas besoin d'être un grand chanteur hyper formé car, fondamentalement, il suffit d'avoir l'envie. Chanter, c'est merveilleux.

Pour ce qui est du Christmas Time, je le redis, je ne me limite pas à Noël pour chanter. J'avais simplement envie d'écrire sur cette période assez fabuleuse de l'année. Même pas de la fête en elle-même, plutôt de l'humeur générale, de l'ambiance qu'il se dégage d'uIMGP0114n peu partout au mois de décembre. Et même plus particulièrement d'un certain endroit, visité quelques jours avant Noël 2010 : Londres.

Vous remarquerez d'abord que, quand on parle de "l'excitation de Noël", on souligne généralement les quelques jours précédant le 25 décembre. C'est précisément la période durant laquelle j'ai visité la capitale britannique pendant un long week-end. Et croyez-moi, entre la gentillesse des gens, les décorations somptueuses et la météo de saison, j'ai été gâté! La politesse en toutes circonstances de n'importe qui est une chose vraiment agréable, que ça vienne de l'employé du métro, du chauffeur de bus, des portiers de chez Harrods ou simplement du passant qui nous indique le chemin, il y a toujours eu un mot gentil accompagné d'un sourire, et c'est très chouette. D'ailleurs, le métro, à l'opposé de son homologue parisien, est propre, sécurisé, agréable d'utilisation et peu propice à la fraude (je n'ai pas dit que j'approuvais tout, mais je reconnais qu'il est très bien tenu). Arrivé à l'hôtel près de Waterloo Station, et même juste en face du Blackfriars Bridge, on découvre une chambre mignonne comme tout, très typique à l'image de l'hôtel (le Mad Hatter Hostel, ça s'invente pas!) avec deux lits bien chauds et douillets. Sortir le premier soir à Hyde Park, en pleine nuit, et découvrir le marché de Noël le plus grand de la ville (Winter Wonderland), c'est aussi formidable. Et se perdre à pieds dans le quartier très chic de St James pour atterrir à Victoria Station, c'est pas trop désagréable non plus, même si les orteils sont gelés... Parcourir les grandes artères, lécher les vitrines magiquement décorées, se mêler à la foule de badauds, atterrir dans le sympa quartier piéton de Carnaby Street et explorer le magasin de jouets Harveys, le tout saupoudré d'un peu (beaucoup) de neige, ça donne des souvenirs proches de la perfection. Passer la soirée seuls à l'étage d'un bus touristique et voir Big Ben, le Parlement, le London Bridge et autres merveilles, c'est directement la perfection. Et dîner dans la crypte bien aménagée d'une cathédrale, enchaîner avec la découverte nocturne de Trafalgar Square, et terminer en rentrant à pieds à l'hôtel en longeant la Tamise via le Westminster Bridge, accompagnés de Big Ben, du London Eyes et autres passants, c'est comment ? Inoubliable. Passer une journée entière à parcourir le quartier fort sympathique de Hampstead, le très vivant et hétéroclyte Camden Town, puis le doux et abrité Old Spitafield Market, suivi d'un afternoon tea ultra complet et bourratif, avec retour de nuit sur Piccadilly Circus, vaine recherche d'une séance dans les cinéma de Leicester Square, dîner sur Oxford Street et changement d'hôtel tardif causé par une panne d'électricité, pour se retrouver dans un nouvel hôtel moins sympa mais faire une séance "détente" à minuit et demi pour changer du concert de Sting à la télé de la veille et se coucher totalement épuisés, c'est, croyez-moi, tout aussi inoubliable. Autant que le dernier petit-déj', dans une cantine espagnole, puis l'arrivée à St Pancras et la vision apocalyptique d'une queue pour l'Eurostar qui allait jusqu'au bout de la rue (sans exagérer!), l'attente, les questions, les allers-retours pour déposer la valise dans la consigne de la Euston Station (cherchez l'erreur), le repas dans un resto rétro, la visite éclair du superbe British Museum, le retour à la gare, de nouveau l'attente et les questions, la fanfare pour occuper les gens, la cabine téléphonique pour informer la France, les boutiques de la galerie, le campement de fortune contre une colone métallique, puis sur les bancs chauffés de Yo!Sushi, puis sur les fauteuils inconfortables de Paul, avec des passants saoûls, intéressants ou pressés, des plaids de la British Red Cross, puis la queue à 3h du mIMGP0141atin pour enfin embarquer et retrouver Paris à 10h30. Tout ça, c'était réellement I-NOU-BLI-ABLE, de quoi en "oublier" les désagréments de la veille avec le changement d'hôtel. Mais d'autant plus inoubliable que c'était la nuit de mes 18 ans, que je me suis offert un petit quart d'heure en solitaire pour respirer l'air frais de Londres et la gare voisine de King's Cross, à la recherche de la voie 9 3/4... Et que ce sacré premier voyage à Londres, c'était dans un sens absolument parfait, un vrai Wonderful Christmas Time!

L'article de cette semaine fait surtout office de très long mémento, et la meilleure photo pour illustrer ça reste ce cliché avec Anna, ma super copine qui a rendu ce voyage absolument génial...

Bonne semaine!

16 janvier 2011

B comme BOUM

Il existe un mot pour désigner un tas de choses, d'évènements. Quatre petites lettres pour exprimer des situations entières, des pensées profondes et des humeurs à résumer.

On l'utilise dans la bulle d'une BD quand le personnage, à son premier jour de travail dans un grand magasin, fait tomber de sa palette un lourd carton de poeles en fonte. Et quand, trois jours après, un autre carton tombe et manque d'assommer, ou plutôt d'écraser le pied d'un gamin, et que son père vous insulte dans une langue étrangère et vous menace de vous couper la main.

Il résume bien notre état d'esprit quand on apprend qu'on va partir une semaine en vacances en croisière sur la Méditerranée. Ou quand on commence à avoir des idées pour filmer un court-métrage loufoque et musical dans son ancien lycée et qu'on fourmille pour ce projet, au rythme d'une idée toutes les trente secondes, avec une bonne copine à côté pour partager ça. Ou bien quand on commence à mettre en scène la comédie musicale qui verra le jour à la fin de l'année, et qu'on imagine déjà toute l'ambiance qui va en découler à ce moment-là.

C'est aussi plus simplement le bruit que fait notre coeur quand on croise une personne connue sur son lieu de travail, quand on voit qu'il y a un message reçu dans ses SMS à la fin de la journée et qu'on attend de sortir pour le lire (ce petit chalenge personnel est une infime preuve de mon masochisme envers moi-même). C'est le claquement ressenti quand son ordinateur s'éteint brusquement sans crier gare. C'est le pincement qu'on a en pensant à ses amies, pas si loin en fait, mais qu'on ne pourra pas voir avant encore un certain temps. C'est également ce qu'on a quand on réalise qu'il est 22h le dimanche soir et qu'on a pas encore écrit l'article de la semaine.

C'est ce qui résume le mieux notre état d'ébullition, de réjouissement personnel qu'on a envie de partager avec des personnes chères en niquant son forfait, ou bien le son qu'on prononce en mimant un pistolet quand on est crevé de sa journée et/ou exaspéré des collègues lourdingues ou des clients désagréables. C'est le mot qu'on fini par dire sans y faire attention, l'onomatopée par excellence.

C'est l'explosion : Boum!

9 janvier 2011

A is for Allez, c'est parti!

bridget_jones_pyjamaMusique à écouter : Ain't no mountain high enough - Diana Ross

Première lettre, première semaine. 2011 commence plutôt bien : 5 semaines de vacances, un job trouvé, et d'assez bonnes résolutions pour cette année. Pas des résolutions qu'on prend à chaque nouvel an (et dont on sait pertinement qu'on ne les tiendra pas), non pas ce genre, plutôt des "résolutions-motivations", des espèces de coups de pied au cul pour se booster et avancer. Avec en première place : réussir ma réorientation. Même si je ne sais pas encore exactement où sera ma rentrée de septembre 2011, je veux que ça soit quelque chose qui me plaise entièrement, soit de ma pleine décision, et, accessoirement, me rapporte bonheur, satisfaction, épanouissement et carrière à succès...(la musique aide à y croire hein? Oui oui, je me sens parfois très Bridget Jones...)Et non, cette année, je ne serai pas une loque feignante et démoralisante qui erre encore chez ses parents en pyjama à la recherche de l'éternelle absolution divine qui nous sortira de sous la couette...enfin j'espère.

Mes projets pour les jours et semaines à venir : acheter les premières saisons en DVD de Fais pas ci, fais pas ça; commencer une nouvelle chorale; finir de re-re-re-relire Harry Potter 3 et passer à autre chose; me mettre à utiliser mon BlackBerry; ne pas me faire virer au bout d'une semaine et accessoirement gagner suffisament d'argent pour ne pas vivre dans le besoin, ce qui dans mon cas se résume actuellement à ne pas pouvoir m'offrir un chocolat chaud ou un goûter digne de porter ce titre.

Oui, définitivement, ce soir, c'est motivation. On y croit, on se donne les moyens, on se bouge, on fait des projets, on prend son plaisir à deux mains et on est une personne heureuse. 2011, on commence du bon pied!

Bonne semaine à tous

2 janvier 2011

Prologue

2011, début d'une autre année.

Ce soir, je commence ce blog qui suivra ma vie pendant cette nouvelle année, et que peut-être vous aussi suivrez, si le coeur vous en dit.

Mais la première semaine n'est pas encore commencée, alors en attendant, bonne année, bonne soirée, et bonne visite!

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Batiffolies hautes en couleurs
  • Chaque semaine est une nouvelle histoire. Un an, 52 semaines, 26 lettres dans l'alphabet, cela me permet d'en faire deux fois le tour, et d'y raconter humeurs, ragôts, joies, expériences, recettes, projets et articles en tous genres... Une année de ma vi
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